Que puis-je faire, croire, espérer d'une interaction avec l'Univers?
« La physique sans la philosophie se perd dans les mathématiques. Il faut avoir un concept fondamental pour écrire les maths qui fonctionnent. Et ça, ça s'appelle la pensée, la philosophie.» Nassim Haramein
Ci-dessous, je vous propore un document de 333 pages qui résume les différents sujets abordés dans les différents menus.
Dans l’approche classique d’une science déterministe, il est impossible de rendre compte d’une causalité universelle : Tout semble alors être ramené à des effets de probabilités et de statistiques. Ainsi,d’abord, s’il est vrai qu’il n’y a pas de conscience sans cerveau, en revanche, la conscience n’est pas réductible à un état neuronal ; ensuite si quelque chose peut nous rencontrer venant du futur, alors une conscience extérieure à notre univers à trois dimensions devient pensable ; l’Âme-Esprit, une Conscience cosmique émerge d’une mécanique supra-dimensionnelle. À travers elle, nous pouvons échapper à notre espace-temps et dès lors, nous ne sommes plus sous l’unique influence de notre passé-présent. Quelque chose nous rencontre, mais quoi ? Serait-ce uniquement les forces intrinsèques de la matière ou alors une Puissance supérieure ? Qu’il s’agisse de l’une ou de l’autre leur existence est incontournable.
L a Science Unifiée de Nassim Haramein permet d’en rendre compte. Tout ce que vous voyez autour de vous – la nature entière, la Terre et le Soleil, même les trous noirs au centre des galaxies – est fait de petits oscillateurs du vide à l’échelle de Planck s’organisant collectivement en structures cohérentes dans certaines régions de l’espace. Tous les protons à l’intérieur de vous sont faits de petits pixels de Planck qui organisent les informations de votre corps dans l’espace, nous dit Nassim. Si par dieu on entend quelque chose qui est omniprésent, omniscient, partout et en tout, qui sait tout, organise tout, alors on peut l'associer directement au vide quantique, aux oscillations de Planck. Dans la métaphore de l'Univers connecté tout est relié de manière holographique, depuis les protons jusqu'aux galaxies, par des trous noirs et des trous de ver. " On pourrait imaginer la structure de l’espace-temps autour de chaque proton comme un superbe treillis de sphères, interconnectées par des canaux de transmission allant dans toutes les directions (Source RSF)." Nous échangeons avec elle de l'information et nous en recevons à tout moment, en temps réel. Nous y sommes en quelque sorte reliés et relayés: C'est tout simplement fabuleux! Tout est dans ce treillis de sphères vibration, information, énergie. Tout y est en rotation (c'est le double spin). Tout existe en tension, en contraction ou en expansion. On peut voir l’univers en tant qu’orchestre symphonique, où chaque proton est semblable au support magnétique d’un disque dur holographique enregistrant chaque instant de son existence dans des bits de Planck. Tous les « disques durs » de protons sont alors interconnectés par des trous de ver qui agissent comme des câbles-réseau à transmission instantanée, aboutissant à ce que tous les protons de l’univers soient synchronisés dans un réseau connecté supraconducteur qui se met à jour instantanément à chaque changement. On pourrait imaginer la structure de l’espace-temps autour de chaque proton comme un superbe treillis de sphères, interconnectées par des canaux de transmission allant dans toutes les directions.
Cela présuppose qu’il y a une zone de communication maximalisée de l’information : la singularité, là précisément où toutes les forces sont en équilibre. C’est la zone de calme, d’équilibre, de quiétude qu’il faut atteindre, trouver pour y déposer et y recevoir de l’information dans un espace spécifique, celui de la mémoire de l'espace-temps. Nassim Haramein nous recommande de l’aborder avec joie, en confiance et reconnaissance, en visualisant l’univers qui se compacte suivant un mouvement spiralé vers l’immobilité dans notre cœur (quand on expire avec gratitude), et qui entre en expansion à nouveau (quand on inspire en confiance), et puis en répétant ce cycle de respiration encore et encore.
La Singularité est liée à un vortex entrant dans le chakra de la couronne (lié à la compréhension spirituelle de la vie et à la sérénité), et un autre dans le chakra racine (lié à la confiance en soi et au courage), pour enfin se réunir dans le centre du cœur reproduisant exactement la même dynamique du spin et du double tore.
Il existe un lieu physique à l’intérieur de notre cœur et de sa Singularité. Notre cœur a une petite cavité, entre ses deux ventricules. Et cette petite cavité a le champ électromagnétique le plus important de tout notre corps ! Il peut être perçu et mesuré à plus de 2,5 m. C’est la batterie de la vie qui maintient notre cœur en fonctionnement. Et quand on meurt, cette Singularité n’est plus présente, c’est sans doute une des raisons pour laquelle il y a une légère perte de poids qu’on ne peut justifier.
La spiritualité est le sentiment de l’existence divine en nous ; nous pouvons en ressentir un bonheur ou une émotion physique. Nous sentir reliés et relayés , en partenariat créatif avec l’Univers, avec une divine Matrice, un Esprit intelligent et conscient. Ressentir l’humilité, l’admiration, la joie, la confiance, la reconnaissance, l’union, la complicité, la gratitude et de la fierté aussi pourquoi pas ! Ce sont des sensations essentielles qui nous aident à nous connecter avec ce qui nous dépasse ou nous encourage à dépasser ce qui nous entrave, nous restreint, nous limite, nous avilit à travers le choix du pardon ou la compartimentation de nos peurs par exemple. C’est ainsi que nous pouvons aborder l'ambivalence de l'inconnu effrayant et du connu sécurisant. Ou concilier bonheurs et malheurs en contenant nos automatismes socio-culturels ou encore ce qui nous a blessé, traumatisé, affecté, déchiré. Il va falloir néanmoins quitter le besoin compulsif de sécurités, la fascination humaine pour la violence y compris celle du désir mimétique, du bouc émissaire ou celle pratiquée sur les réseaux sociaux. Il va falloir oser la bienveillance, la bienfaisance et la bien traitance ; puiser dans la méditation la force, le plaisir ou le courage d’avancer, de contribuer chacun-e à sa façon au grand changement qui devient une nécessité si l’Humanité espère survivre sur sa planète.