Mauro Biglino est un auteur, essayiste et traducteur italien.
Il est l'un des grands spécialistes au monde de la traduction des textes en vieil hébreu constitutifs de l'Ancien Testament. Chercheur dans le domaine de l’histoire des religions, il approfondit depuis près de trente ans l’étude de ce qu’on nomme les "textes sacrés", convaincu que seules la connaissance et l’analyse directe de ce qu’ont écrit les rédacteurs antiques aident à comprendre véritablement la pensée religieuse formulée par l’humanité au cours de son histoire.
Les connaissances linguistiques et philologiques qu’il a acquises grâce à l’étude de l’hébreu massorétique, ainsi que sa maîtrise des langues grecque et latine, lui ont permis de devenir le traducteur officiel des Edizioni San Paolo, qui ont publié 17 livres de l’Ancien Testament traduits par ses soins à partir de la Biblia Hebraica Stuttgartensia, version imprimée du Codex de Leningrad.
Après plusieurs années de collaboration avec cette maison d’édition, l’auteur a décidé de proposer une version littérale et philologique de l’Ancien Testament, dans le but de se rapprocher le plus possible du message d’origine de ceux qui l’ont compilé.
Sa légitimité de "traducteur" constitue la valeur première de son ouvrage "La Bible comme vous ne l'avez jamais lue". En rupture avec la lecture traditionnelle juive ou chrétienne, et par honnêteté intellectuelle, Mauro Biglino ose affirmer que la Bible est un livre qui raconte l'arrivée sur notre planète d'une race extra-terrestre, les véritables créateurs de l'espèce humaine.
“Si Dieu tenait dans sa main droite toutes les vérités et dans sa main gauche, l’effort infatigable vers la vérité et qu’il me disait : ‘Choisis’, je saisirais sa main gauche en disant : ‘Père, donne-moi celle-ci ! La pure vérité n’est que pour toi seul. ’
Chacun de nous est unique et a le droit de comprendre n'importe quel texte, personne ou idée de la manière qu'il trouve la meilleure, et personne ne peut lui dire comment percevoir une idée spécifique et comment il comprendra le sens de la vie pour lui-même, parce que chacun de nous est le chemin et la vie, et tout ce qu'il y a.
Le présent travail s’appuie donc sur quelques hypothèses de parcours que nous pouvons synthétiser comme suit :
• la partie plus ancienne de la Bible est essentiellement un livre d’histoire qui narre les origines de l’humanité et les péripéties successives d’un peuple qui a établi une relation/alliance avec l’un des Elohìm ;
• l’homme est le fruit d’une hybridation génétique ; • cette hybridation génétique a été effectuée par des individus physiologiquement similaires à nous, mais dotés de connaissances et de technologies incomparablement supérieures ; – ces individus étaient connus sous divers noms et regroupés en hiérarchies : selon les rôles occupés, ils sont définis en tant qu’Elohìm, Nephilìm, Anakin, Emim, Zamzummim, Malakìm, Rephaim, Baal dans la Bible ; Anunnaki, Igigi, Dingir par les Sumériens ; Ilu par les Akkadiens ; Neteru par les Égyptiens ; et Viracochas par les cultures méso-américaines ; – loin d’être considérés comme des dieux, ils suscitaient en réalité, à l’origine, un respect et une soumission qui n’étaient dus qu’à leur grand pouvoir ; – il est certain que leur longévité était supérieure à celle des terrestres, mais ils n’étaient absolument pas immortels ; – leur but était de produire une race de travailleurs/serviteurs qu’ils utiliseraient ; – ils ne s’occupaient pas de sujets tels que la religion dans le sens moderne du terme, la spiritualité, l’Au-delà et autres, mais avaient comme objectif fondamental de définir des structures de pouvoir réparties sur différents territoires où se sont ensuite développées diverses civilisations ;
– ils ont veillé à faire culturellement évoluer cette nouvelle race hybride (Homo sapiens) à travers la diffusion contrôlée de connaissances de nature civile, juridique, agronomique, astronomique, mathématique, architecturale, littéraire, politico-administrative, artisanale et globalement technico-scientifique ;
• les anges dont parle la religion traditionnelle étaient en réalité des messagers ordinaires en chair et en os qui avaient pour mission de servir d’intermédiaires et de surveiller la nouvelle espèce ; • l’Ancien Testament représente souvent la synthèse de récits sumériens qui s’avèrent beaucoup plus précis et circonstanciés ; • l’Ancien Testament a été écrit par un peuple qui était selon toute probabilité de descendance sumérienne.
Perles de l'étude:
- à l’origine de la création, Elohim se trouvait suspendu dans les airs et flottait au-dessus de la surface des eaux comme une colombe qui fait du surplace au-dessus de son nid: autrement dit comme un OVNI! Un esprit volant. Elohìm est un terme désignant une pluralité d’individus.
- L’argile mentionnée dans la Bible n’est donc pas un simple élément symbolique et elle peut donc véritablement avoir deux attributions : “ce qui contient la forme” au sens de l’ADN terrestre et/ou “ce qui contient la forme” au sens de ce récipient catalyseur de l’implantation génétique.
- [Nishmàt chajim], le souffle de vie: ”. Après l’intervention, l’[adàm] devient par conséquent une “personne” dotée de la nouvelle vie introduite par le “créateur”, qui lui instille le souffle de cette nouvelle vie. Ainsi Les Elohìm, parmi lesquels nous comptons celui connu sous le nom de Yahvé,
décident à la faveur d’une décision collégiale de créer la nouvelle espèce vivante en partant des éléments matériels dont ils disposent.
- Le pacte de Moïse:
L’Elohìm qui se faisait appeler Yahvé n’était pas l’un des nombreux “dieux” d’une religion polythéiste, mais plutôt un membre appartenant au groupe des Anunnaki/Igigi Neteru Ilanu/ Elohìm : des individus de chair et d’os qui sont arrivés sur Terre, ont façonné l’homme à leur ressemblance en utilisant le [tzelèm], à savoir ce “quelque chose de matériel qui contient leur image”, et lui ont enfin transmis tout ce qui était nécessaire pour créer une culture et une civilisation.
Moïse ne fut donc pas plus un monothéiste qu’un monolâtre, mais plutôt un habile stratège qui décida de définir un pacte avec l’un des nombreux “seigneurs” locaux possibles de son temps. La langue araméenne recèle le terme נפילא] nephilà], un nom propre qui désigne la constellation d’Orion, et il est vrai que les études qui tendent à mettre cette constellation en corrélation avec la naissance de la civilisation humaine sont excessivement nombreuses. Mais les Elohìm sont non seulement nombreux et appelés à gouverner divers peuples, mais ils sont en outre tôt ou tard destinés à mourir! Ce sont eux-mêmes qui le disent. Celui qui préside l’assemblée le dit pour leur rappeler que même si ce sont des Elohìm (seigneurs du haut), ils ne bénéficient pas pour autant de droits particuliers ou de privilèges extraordinaires.
- L’archéologie et la paléographie nous ont aussi permis de vérifier l’existence du nom de Yahvé jusqu’aux IIIe et IIe millénaires av. J.-C. dans la région sise au sud de la Palestine (le Négev et le Sinaï), et ce, sous les formes Ja/Ya, Jaw/Yaw, Jahu/Yahu,Jah/Yah. Il s’agissait donc d’un gouverneur (Dieu ?) qui y était localement connu et adoré. Si la réalité est au fond celle que nous sommes ici en train de supposer, le tétragramme YHWH pourrait n’avoir aucun sens dans la langue, l’hébreu, dans laquelle on l’a écrit, et n’être que la simple restitution lexicale et phonétique des sons caractérisant un nom propre issu d’une autre langue.
- Le sacré:
c'est quelque chose de “défini”, qui était physiquement ou intellectuellement circonscrit dans le but d’être “séparé et dédié à…”.
Cette définition du “sacré” ne présupposait initialement pas des valeurs comme la sainteté, la spiritualité, la transcendance, etc., lesquelles lui ont été spécifiquement attribuées à la suite de son insertion dans la sphère religieuse. Ce “sacré” ne relève pas et ne peut pas relever d’un principe unique et absolu ; il s’agit d’un “sacré” qui est continuellement défini et précisé, qu’on acceptera conventionnellement et respectera par la suite, sous peine de subir diverses conséquences plus ou moins graves, de la simple invitation à s’éloigner à une mort irréparable. Nous croyons pouvoir dire que l’hébreu n’est pas une religion de foi, mais une religion de fidélité : fidélité à un pacte librement souscrit qui n’est devenu contraignant: la tradition hébraïque est potentiellement anarchique, parce qu’elle refuse le principe d’une autorité irrationnelle, figée, arbitraire et elle-même génératrice de chaos.
La pensée hébraïque tend vers un ordre rationnel qui est chaque fois analysé, accepté, fondé sur la connaissance expérimentale et non sur une foi aveugle en d’“autres” vérités, seraient-elles définies en tant que dogmes, auxquelles on ne peut se référer qu’en les acceptant ou en les refusant, qu’après avoir été librement accepté. Le Rabbin est celui qui étudie et cherche à comprendre les termes d’une Alliance afin d’en garantir le respect, lequel renvoie de toute façon toujours à la responsabilité simultanée de la personne et du peuple. Les mots de Martin Buber et de Ludwig Wittgenstein trouvent ici un écho, eux qui soutenaient que nous n’avons pas besoin de parler de “Dieu”, parce qu’avec Lui, nous devons agir.: être des justes dans le respect d'une Alliance.
- La circoncision:
le prépuce excisé est le signe fondamental de l’appartenance à cet ensemble d’alliés, et celui qui ne le porte pas est éliminé (occis ?).huit jours exactement après la naissance d’un être humain, son sang atteste de la présence de phylloquinone – ou vitamine K, une substance antihémorragique – à des niveaux très élevés, selon une quantité qu’il ne retrouvera plus tout au long de son existence. La circoncision engendrant une perte de sang notable, ce huitième jour représente ainsi le moment le moins risqué, où la cicatrisation sera justement la plus rapide du fait de ce niveau élevé d’antihémorragiques dans le sang. Force nous est d’en conclure que cette prescription précise aura été donnée par quelqu’un qui connaissait à l’évidence certains mécanismes de la physiologie humaine.
- Noé:
Étant donné que les “mélanges” sexuels prohibés avaient engendré moult imperfections et avaient de toute façon entraîné la perte de la pureté originelle, il semblerait que nous soyons ici devant un individu dont l’intégrité génétique est particulièrement marquée, qui devait tout reprendre à zéro.
- Le choix de 12 tributs:
Le choix du 12 était probablement lié à la subdivision de l’année en 12 mois ainsi qu’à la nécessité d’attribuer mois par mois à chaque district territorial la tâche de procurer nourriture et services à la cour de Jérusalem : cette rotation se faisant sur 12 mois, chaque circonscription aurait dû assumer cette charge. Les Hébreux ne constitueraient par conséquent que la partie des Sémites choisie par l’Elohìm qui était connu sous le nom de Yahvé. Ce “Dieu” gouvernait la région du Sinaï et du Madiân, où il entra en contact avec Moïse (Ez 3), avec qui il définit un pacte ayant pour objet la conquête définitive d’un territoire sur lequel régnaient d’autres Elohìm, ses collègues et rivaux : la fameuse Terre promise.
- Les sacrifices:
L’Elohìm appelé Yahvé se faisait préparer des substances qu’il inhalait pour en concevoir un état de relaxation, une sorte de tranquillité qui devait lui être réservée et dont il avait besoin. Les fumées ainsi produites régulaient également sa respiration et avaient une action aseptisante sur l’espace entourant l’habitation qu’il s’était fait construire dans le désert pour les moments où il projetait d’entrer directement en contact avec les
représentants du peuple. Tout cela est extrêmement concret et facile à comprendre si l’on songe aux conditions d’hygiène de cette époque, qui représentaient incontestablement un risque pour lui.
- Les anges:
Les anges [malakhìm] sont des individus concrets qui sont à l’évidence physiquement différents des hommes. Ils sont dotés de pouvoirs supérieurs et vivent dans des campements dont l’accès ne semble pas autorisé. Ils sont contraints de poser des questions lorsqu’ils font inopinément face à des situations imprévues. Ils exercent différentes fonctions d’ordre tout à fait pratique. On trouve en outre parmi celles-ci le rôle de porte-parole de Yahvé dont ils transmettent des ordres, des indications et des projets que leurs interlocuteurs (les prophètes) doivent ensuite rapporter au peuple.
- Satan:
Le personnage de Satan n’existe pas en tant que simple acteur qui agit en tant qu’individu seul, mais représente une position, une fonction qui peut être assumée aussi bien par des hommes que par des [malakhìm], ceux qu’on appelle “anges”.
• Il n’agit pas nécessairement en continuel adversaire de “Dieu”.
• Il s’agit souvent d’un exécutant de confiance étant donné qu’il accomplit fidèlement ce que “Dieu” veut.
• Il n’est ainsi pas du tout clair qu’il puisse être identifié comme le chef de groupes rebelles.
il ne s’agit pas d’une entité spirituelle qu’on devrait craindre ou à qui l’on s’adresserait pour évoquer ce que l’on pourrait appeler, à défaut d’un terme plus approprié, des forces malignes. Le satanisme est donc une aberration...
- Les chérubins:
• sont reliés à des lames flamboyantes/cercles qui tournent rapidement (Gn 3 21-24, Ez 10 9-12) ; • sont représentés comme ayant des dimensions considérables (1 R 6 24) ; • peuvent (ils doivent ?) être transportés avec un char réalisé spécialement à cet effet quand ils ne se meuvent pas de façon autonome (1 Ch 28 18) ; • ont des roues qui peuvent avancer dans toutes les directions sans tourner, restant toujours unies par leur structure au reste de l’objet volant (Ez 10 16-18), et ont aussi une partie centrale circulaire qui a un mouvement rotatif/de turbine rapide (Ez 10 13) ; • ont sous eux suffisamment d’espace pour une personne quand ils sont reliés au char de Yahvé (Ez10 2) ; • sont dotés de structures qui couvrent et protègent quand elles sont repliées, et servent à voler quand elles sont en position ouverte (Ez 10 5-19) ; • émettent en se déplaçant un bruit qu’on entend de loin (Ez 10 5) ; • sont “quelque chose” où l’Elohìm se pose, s’assoit, se tient en se mettant à califourchon pour voler (1 Sam 4,4, 2 Sam 6 2 ; 2 Sam 22 10-11,7 Ch 13 6, 1 Ch 28 18, etc.) ; • se meuvent reliés au [kevôd, ruàch] de l’Elohìm mais également de façon indépendante, comme cela transparaît des déplacements successifs à Jérusalem qui ont suivi (Ez 8 10-11) : ils sont là en même temps que le char de l’Elohìm ; ils se placent à droite du Temple pendant que le char s’élève pour prendre place à l’intérieur ; ils produisent un bruit qu’entendrait quelqu’un qui ne peut les voir de la cour extérieure ; quand le char revient vers eux, ils déploient leurs ailes et s’élèvent ; l’ensemble de la structure sort du Temple et se place à sa porte orientale, d’où il s’élève à nouveau pour quitter la ville et atterrir sur la hauteur située à l’est de cette habitation. Cette description répétée de Yahvé à califourchon sur le Chérubin nous donne une image très semblable à la sculpture qui se trouve dans le Musée archéologique d’Istanbul.
- L'Arche, l'éphod et les chérubins:
• l’[éphod] associé au pectoral, servait-il d’émetteur-récepteur ?
• L’Arche était-elle un condensateur susceptible d’accumuler de l’énergie ?
• Yahvé parlait-il dans le temple-tente en étant sur le couvercle de l’Arche ?
• Pouvons-nous supposer que les Chérubins servaient d’électrodes opposées
ayant la fonction de décharger l’électricité statique accumulée par le condensateur alimentant l’appareil émetteur-récepteur ?
- Elie:
dans notre ouvrage précédent, abondamment traité de
l’épisode narré dans le chapitre 2 du Second Livre des Rois, connu en tant que l’“enlèvement” d’Élie : un événement qui pourrait être défini en termes contemporains comme une véritable “abduction”, c’est-à-dire un enlèvement opéré par des extraterrestres qui l’emportent sur leur char volant.
- divers Elohìm qui se partageaient le contrôle des régions du Moyen-Orient : Yahvé du Teman (du sud : le Sinaï) qui s’opposait à Baal Zaphon (le seigneur du nord : le Liban).L’eau qui aurait dû empêcher un feu de prendre aurait dans ce cas précisément été l’élément nécessaire pour le déclencher. La température élevée que génère la chaux vive au contact de l’eau aurait fait naître une flamme comme par magie, qu’auraient ensuite alimentée le bois et les différents composants inflammables de ces pierres (bitume, soufre…).
- Adam ne prend pas conscience de sa désobéissance, mais plutôt de sa nudité, et que ce n’est pas Dieu qui a stigmatisé le fait d’être nu. l’homme et la femme de la nouvelle espèce ont dès lors compris/expérimenté qu’ils avaient la capacité de se reproduire de manière autonome. Ils ont acquis le pouvoir des Elohim. “Dieu” craint à l’évidence la nouvelle espèce – prévoyant déjà qu’elle sera peut-être incontrôlable dans le futur – et il ne veut pas l’avoir dans ce laboratoire expérimental, sorte de résidence privilégiée : pour ne pas prendre le risque de les voir rentrer, il établit un tour de garde à l’entrée.
La connaissance du mal se vit physiquement dans les douleurs de l'enfantement, dans la sueur du front, c'est donc une conséquence de l'exclusion du jardin!. Le serpent et la tentation seraient donc la transposition en langage biblique du désaccord opposant Enlil et Enki, et l’intervention du serpent/Enki représenterait le moment où la nouvelle espèce fut rendue fertile.
- Les religions sont nées d’une tentative de renouer le contact et de retisser un lien avec des êtres qui furent considérés comme supérieurs et divins du fait de l’avance considérable qu’ils avaient sur l’homme en termes de connaissances, d’aptitudes et de puissance :
• des individus qui vivaient tellement longtemps qu’ils étaient considérés comme immortels, même s’ils ne l’étaient pas ;
• des individus qui connaissaient les secrets de la nature et du cosmos, les
transmettant seulement à leurs fidèles disciples en lançant ainsi les castes des rois/gouverneurs/prêtres (qui étaient justement “initiés” à la Connaissance…) ;
• des individus qui voyageaient dans les airs, couvrant à une vitesse extraordinairement rapide des distances impensables pour celui qui se déplaçait en marchant ;
• des individus qui utilisaient des intermédiaires pour administrer leur pouvoir et communiquer avec l’humanité à travers des filtres (les anges…) qui évitaient le contact direct ;
• des individus qui avaient créé l’homme en utilisant les techniques d’ingénierie génétique dont ils contrôlaient tous les aspects.